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Quand on pense au futur on se demande souvent quelles seront les technologies qui vont le plus révolutionner nos habitudes, notre façon de vivre. Il en a effectivement de nombreuses qui laissent penser à de multiples possibilités : les voitures autonomes, la réalité virtuelle, et bien entendu l'impression 3D.

L'impression 3D est parfois vue comme le moyen de téléporter des objets, voir même en science fiction de téléporter des humains, comme dans Star Trek!

Pour le moment les seuls objets que l'on peut téléporter griace à cette technologie sont innanimés. Grâce à un scanner 3D il est d'ores et déjà possible de numériser en 3D un objet puis de le re-fabriquer entièrement avec une imprimante 3D.

Comment fonctionne une imprimante 3D? Le principe est relativement simple. De la matière est déposée couche après couche jusqu'à constituer un objet complet. En fonction de la matière utilisée les couches ne sont pas déposées selon le même principe. Dans le cas le plus courant il s'agit de plastique et deux principes généraux cohabitent: le stéréolithographie et le dépot de matière fondue.

La stéréolithographie (également appelée SLA ou DLP) utilise une reserve de liquide liquide contenant des photopolymères. Il s'agit d'un type de plastique spécifique qui lorsqu'il est soumis à un éclairage ou à une source de chaleur durcit. Dans le bain de résine liquide est trempée une plateforme d'impression 3D. Celle-ci baigne dans le liquide et une partie de la plateforme vient alors affleurer la surface du réservoir. A ce moment là une source lumineuse, un projecteur ou un laser par exemple vient durcir très localement la résine liquide jusqu'à constituer une couche solide. A cet instant la plateforme peut descendre de quelques millièmes de milimètres (l'épaisseur de la couche ou résolution de l'imprimante 3D) et le processus peut ainsi recommencer. Couche après couche un objet est ainsi imprimé en 3D.

Le dépot de matière fondue est également appellé FFF ou encore FDM (nom déposé par Stratasys). Le principe est cette fois ci différent. Le but est de faire fondre du filament plastique (ABS, PLA, à base de bois, de métal, avec du Nylon, les possibilités sont presque infinies) et de le déposer couche après couche sur une plateforme d'impression. En se refroidissant le plastique fusionne et vient créer des couches solides, le processus est répété plusieurs jusqu'à venir compléter l'objet imprimé en 3D.

En fonction de la technologie choisie le prix des imprimantes 3D peut varier énormément! Pour le prix d'une imprimante 3D il faut compter environ 2000 euros pour un modèle de bureau.

La UP Mini est une petite imprimante 3D qui s'est très bien vendue grâce à un positionnement en prix très judicieux. Elle est surtout apréciée de ses utilisateurs pour sa simplicité d'utilisation et ses nombreuses capacités, notamment la possibilité d'imprimer en 3D avec de l'ABS, très rare à ce niveau de prix. L'ABS requiert en effet un plateau chauffant, ce qui a tendance à faire gonfler la note. Mais la UP Mini a su rester pas chère tout en multipliants les avantages vis à vis de la concurrence, comme par exemple son chassis fermé, ce qui est là aussi un vrai plus.

Tiertime est un fabricant chinois avec une solide expèrience en matière d'impression 3D suite au rachat de PP3DP. Les modèles qu'ils proposent sont non seulement performants mais également très bien conçus et designés.

La Tiertime UP mini 2 qui vient donc remplacer la UP mini était très attendue. Elle a été dévoilée au public lors du CES 2016 qui a eu lieu à Las Vegas.

La Tiertime UP mini 2 imprime en 3D les filaments thermoplastiques les plus courants, l'ABS et le PLA. Sa résolution maximale (épaisseur minimale de couche) est de 150 microns. Un autre domaine dans lequel elle excelle est la connectivité avec la possibilité de communiquer par Wifi.

Concernant les caractéristiques techniques, la Tiertime UP mini 2 mesure 255 x 365 x 385 mm et pèse 8kg. Elle peut imprimer en 3D dans un volume de 120 x 120 x 120 mm, en légère hausse comparée au modèle précédent.

Les imprimantes 3D SLA (Stereolithographie) offrent de nombreux avantages comparée à leurs concurrentes à dépot de filament fondu, à commencer par leur résolution bien plus élevée. La Liquid Crystal ne fait pas exception. Cette imprimante 3D SLA pas chère propose en effet de produire des couches d'une finesse de 25 microns seulement.

La technologie utilisée par le Liquid Crystal s'appelle Daylight Polymer Printing (DPP). Elle permet de produire une couche en 13 secondes seulement, auxquelles il faut ajouter 8 secondes de temps mécanique pour finaliser le décollage de la plateforme du système qui contient la résine liquide.

Le volume d'impression de la Liquid Crystal est intéressant avec 200 x 100 x 200 mm. Avec un prix d'appel en dessous des 100euros, la Liquid Crystal est une concurrente de poids face à la Formlabs Form 2 qui est 4 fois plus chère.

Pour tout connaitre des imprimantes 3D SLA à petit prix rendez vous sur Aniwaa!

Il existe sur internet de nombreuses sources d'information à propos d'impression 3D. Une des sources les plus complètes est la base de données du site internet aniwaa. Des centaines de produits sont listés et catégorisés en fonction de leurs caractéristiques et budget. Il est facile de comparer plusieurs catégories de produits tels que imprimantes 3D, scanners 3D, filaments 3D, logiciels de CAO (Conception Assistée par Ordinateur) ou encore sites et plateformes de téléchargement de fichiers 3D.

Rapidement ces comparateurs complets permettent de trouver rapidement la  meilleure imprimante 3D du marché, celle qui correspond réellement à vos besoin et aux budget que vous souhaitez investir. Comme le montre le schéma ci-dessus, il existe pour commencer de nombreuses possibilités technologiques. En fonction des matériaux d'impression souhaités il est possible d'utiliser une ou plusieur technologie d'impression 3D. Chacune possède ses avantages et inconvénients. Parfois l'impression 3D entre également en compétition avec des techniques plus répendues de production, telles que le fraisage (parfois appelé forgeage) et le moulage. L'ideal après utilisé ce type d'outils de comparaison et identifié une première sélection de produits est de demander conseil à des experts.

Aujourd'hui la réalité virtuelle est partout. Articles, émissions et de plus en plus de foyer. Cette technologie permet d'afficher en 3 dimensions un environnement réel ou virtuel à un utilisateur, généralement par le biais d'un casque de réalité virtuelle tel que le propose Oculus par exemple. La marque a été rachetée par Facebook il y a maintenant deux ans contre la somme de 2 Milliards de dollars.

Dans ce nouvel eldorado de nouvelles sociétés s'engouffrer. Cependant proposer des expèriences de réalité virtuelle n'est pas simple. Cela sous entend de pouvoir capturer en 3D le monde réel ou encore de le fabriquer de toutes pièces.

Quel que soit la manière retenue un outil est de plus en plus incontournable pour fabriquer des modèles 3D. Il s'agit des scanners 3D. Or ces appareils restent encore complexes à utiliser et d'une grande variété. Il existe des scanners 3D de bureau, portables, spécialement dédiés au milieu industriel ou encore adaptés aux besoins des particuliers.

Pour acheter scanner 3D il existe une multitude d'option. La première étape reste généralement les renseignements fournis sur internet. Un des sites les plus complet à ce sujet s'appelle Aniwaa. Créé par des spécialistes du domaine il est destiné à tous, particuliers comme professionnels. En quelques clics des outils de comparaison intuitifs permettent d'identifier le scanner 3D le plus adapté et de trier plusieurs alternatives en fonction de critères tel que prix, encombrement ou tout simplement performance.

Et si jamais les outils en ligne gratuit ne suffisent pas il est possible de se rapprocher de cette équipe d'expert pour le poser des questions techniques pointues. Quelques soient les cas d'usage (bijouterie, dentaire, musée, retro ingénierie, architecture...) il sauront apporter une réponse personnalisée à vos questions.